Impressionnant cette impudeur ...
Une séance sur la canapé couchée avec force sur le papier ...
Une honnêteté « en état d’urgence » pour la survie propre de l’Auteure ...
Une nécessité absolue sans filtre aucun, ni honte, tel un rêve violé, un « Tag » en lettres capitales qui dansent sur les murs de sa vie ...
Comme un « Cri » qui dure 86 pages et dont l’écho raisonne encore et encore ...
Même quand l’on ferme le livre, il reste bavard ...
Un parallélisme en émoi entre ce qui se passe entre son pays « sa terre » et son corps « sa chair » ...
Terre/Chair et Chair/Terre, respirent le même air ...
Livre très fort !
Agnès Boulakia